Aux prises avec la mafia maçonnique de l’Ile de la Réunion

Aux prises avec la mafia maçonnique de l’Ile de la Réunion



En 1994, Stan Maillaud se rendit sur l’Ile de La Réunion pour accompagner son père Ian dans son « dernier voyage ».
Ses parents étant partis vivre sur l’île, il y resta après la mort de son père.
Il y fut portier de boîte de nuit pour commencer. Puis il monta une entreprise de protection des biens et des personnes : Inspiré par un climat d’insécurité préoccupant, et par l’inefficacité caractérisée des pouvoirs publics, il créa une équipe privée d’intervention pour pallier ladite inefficacité. Ce fut une première sur l’île et sans doute dans la profession en général, mais malgré les procès d’intention qui fusèrent rapidement de toutes parts, aucun texte de loi ne venait interdire son innovante formule.
Une épopée particulièrement épique de plusieurs années, entre les coups fourrés des pouvoirs publics et la délinquance, conduisit finalement notre homme à la ruine, à la prison et à la disgrâce publique, à l’âge de 33 ans, en 2001.
Entre temps, il avait « fait régner la terreur » chez les voyous qui rentraient dans le périmètre de Saint-Gilles les Bains, avec son équipe privée d’intervention - dûment agrémentée ! - au service d’un regroupement de commerçants et de résidents qu’il avait initié, et servit sans faillire.
Son initiative originale faisant de l’ombre aux pouvoirs publics, et courrouçant la franc-maçonnerie locale, il fut accusé d’escroqueries diverses – le classique « abus de biens sociaux » - et « d’organisation de groupe de combat ».
Après une liquidation de sa première entreprise, organisée frauduleusement par le tribunal de commerce local et sa clique de voyous - dont le rosicrucien PIEC, liquidateur judiciaire - il fut reproché à Stan Maillaud d’être - à lui tout seul ! - ledit « groupe de combat », sans aucun autre élément à sa charge qu’une récolte de faux témoignages.
La brigade de recherche de Saint-Paul, avec le gendarme véreux du nom de Emmanuel PRISSETTE, sous les ordres du capitaine BON, avait arrangé le tout, pour la forme…
L’agrément de Stan Maillaud ne lui fut d’ailleurs supprimé qu’après son inculpation…
Bref ; après deux mois de prison, il entreprit une défense impossible, englué dans les fils de la franc-maçonnerie locale, véritable ramassis de petits parvenus corrompus et pourris.
Il fut condamné en première instance, grâce à la complicité d’un voyous notoire, un certain auxiliaire de justice du nom de Gilbert Collard. - Voir article du Journal de l’Ile de la Réunion intitulé « Stan Maillaud, le retour » - 
Mauvais perdant, et à cour d’argent, il réitéra son « crime », remontant avec l’aide de sa mère la copie conforme de son « groupe de combat » Saint-Gillois, cette fois dans le sud de l’île.
Il fit affaire principalement avec la communauté musulmane - malgré une fracassante campagne de diffamation organisée par les médias - assurant même la sécurité de la Mosquée de Saint-Pierre ; insigne honneur, selon lui.
Evidemment, il fit appel entre-temps, changeant de voyous-baveux pour sa défense.
De nouvelles aventures – voir Paris-Match : « Kidnapping au nom de l’amour » et « Stan Maillaud, échappé de l’enfer » - le stimulèrent jusqu’en 2005, jusqu’à ce qu’il soit contraint de se rendre chez un « frère maçon », psychothérapeute expert près la cour d’appel de son état.
Abandonné par son deuxième traître d’auxiliaire de justice – le franc-maçon Patrick Rizzo, de Nice – et redoutant l’internement qui lui pendait au bout du nez, il quitta la Réunion en catastrophe, ignorant l’invitation du « frère » psy.
« Par défaut », il fut condamné en appel à subir une psychothérapie, ainsi qu’à un an et demi de prison avec sursis, et une interdiction, à vie, de travailler dans la protection privée. Il fut également déchu de ses droits civils et civiques…
Le président de la cour d’appel de Saint-Denis - un caractériel notoire et  pro-pédophile du nom de Salzmann - , frustré de n’avoir pu obtenir l’expertise qu’il avait ordonnée, s’était alors octroyé les compétences d’expert psychiatre pour juger de la dangerosité paranoïde de Stan Maillaud.
Courant 2005 ; dernières missions de protection rapprochée, pour le compte d’agences de la Côte d’Azur, où Stan Maillaud s’était transitoirement réfugié.
Ayant engagé son dernier recours, la cassation, sa condamnation était suspendue le temps que n’intervienne cette ultime décision de « justice ».
Perdant le recours en question, sans plus de surprise, Stan Maillaud partit alors sur la trace de ses ancêtres Corses, pour se reconvertir dans le coaching sportif.

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